Lucas Goubert
Colombie
En l’an de grâce 1973, dans les salles sacrées de la Clinique Palermo à Bogotá, Lucas poussa son premier cri. Pourtant, ce ne fut qu’à l’hiver 1995 que sa véritable naissance en tant qu’artiste eut lieu. Sur les pages d’un carnet à dessin, un cadeau de son amie Ultra Violeta, il traça sa première illustration, un arbre inspiré du poème « Último Árbol » de Gabriela Mistral.

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À propos de l'artiste
En l’an de grâce 1973, dans les salles sacrées de la Clinique Palermo à Bogotá, Lucas poussa son premier cri. Pourtant, ce ne fut qu’à l’hiver 1995 que sa véritable naissance en tant qu’artiste eut lieu. Sur les pages d’un carnet à dessin, un cadeau de son amie Ultra Violeta, il traça sa première illustration, un arbre inspiré du poème « Último Árbol » de Gabriela Mistral.
En 1999, Lucas s’aventura en Europe, cherchant fortune dans le domaine bancaire. C’est à Paris, au printemps 2003, qu’il fut rebaptisé par son ami Justin. À la recherche d’un nom de plume pour ses aspirations dans le cinéma gay pour adultes, Justin lui donna le nom de Lucas Goubert, dérivé du nom de son chien d’enfance et du nom de jeune fille de sa mère. Bien que ses ambitions cinématographiques ne se soient jamais concrétisées, il adopta ce pseudonyme, qui résonne encore dans diverses facettes de sa vie.
En décembre 2007, Lucas rencontra l’amour sous la forme de Cupix LeVX.
À l’aube de l’année 2024, un sombre malaise s’abattit sur lui, un « burn-out ». Un après-midi fatidique, dans son bureau de la Place Vendôme, son esprit se détacha de ses liens. Il s’effondra au sol, ses membres devenus inutiles, sa voix réduite à un simple murmure. C’est alors qu’il décida d’abandonner sa carrière bancaire, avec tout son stress implacable et ses exigences incessantes. Désormais, il canalise toute son énergie dans les arts du collage, de la peinture et du dessin. Lucas vit et crée dans la Ville Lumière, Paris

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